Doit-on se réjouir du fait que les règles relatives à l’entrée sur le territoire australien s’appliquent de la même manière au meilleur joueur de tennis au monde qu’à n’importe qui d’autre ?
Ou doit-on le regretter pour le sport de manière générale et le tennis de manière particulière ? Je suis de ceux qui pensent qu’il ne peut être reproché aux magistrats australiens d’avoir dit le droit.
Et qui regrettent que les conseillers de Djokovic l’aient mis dans cette situation intenable.
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