“Je ne suis pas vraiment étonné par cette réaction. C’était inéluctable que la gouvernance, dans son entièreté, change. Monsieur Blatter avait perdu la plupart de ses soutiens en interne, notamment la quasi-totalité de ses soutiens en Europe. Ou il continuait sans ses soldats, ou il partait, ce qui me semblait être la seule solution”.
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